samedi 14 février 2009

Un rêve de judoka

Partir avec une vingtaine de nos jeunes judokas faire un stage au Japon du 13 au 24 avril 2009. Afin d'amener à bien ce projet, plusieurs actions ont commencé à être mises en place pour récolter des fonds.

  • Calendriers (le bénéfice sera entièrement alloué à ce projet)
  • Emballage des cadeaux chez Cultura
  • Stand sur le marché
  • Vente de gâteaux au collège Edouard Manet
  • Une chose essentielle à la réussite de notre projet, la solidarité de tous comme le montre la petite histoire des oies sauvages.

Le vol des oies sauvages

A l’automne, voyant le vol des oies sauvages qui vont vers le sud pour y passer l’hiver, vous serez peut-être intéressés de savoir ce que la science a découvert à propos de cette façon de voler en formation.

On s’est rendu compte, que chaque fois que l’un de ces oiseaux bat des ailes il crée une aspiration pour celui qui suit immédiatement derrière et, en volant ainsi en V, tout le groupe accroît son déplacement d’environ 70% par rapport à la distance que pourrait parcourir un oiseau isolé. 

Ainsi, les individus allant dans une même direction, animés par une même idée, peuvent atteindre leur but plus facilement et plus rapidement parce qu’ils avancent en profitant de la lancée des uns et des autres.

Chaque fois que l’un des oiseaux s’écarte de la formation, il est immédiatement freiné dans son élan et, devant la résistance qu’il rencontre à voler seul, il rejoint rapidement la formation pour profiter de l’appel d’air de celui qui le précède. 

Ainsi, quiconque a autant d’intelligence qu’une oie sauvage, restera en formation derrière ceux qui avancent dans la même direction que lui.

Lorsque l’oiseau qui conduit le vol est fatigué, il va se placer à l’extrémité d’une des ailes de la formation et un autre le remplace en tête. 

Il est payant de se relayer à tour de rôle dans les tâches difficiles pour les hommes comme pour les oies sauvages.

Les oies qui sont à l’arrière émettent des cris d’encouragement pour aider celles qui sont devant à maintenir l’allure. 

Quelles sortes de messages émettons nous quand nous nous trouvons à l’arrière ?

Enfin, lorsque tombant malade ou venant à être blessée l’une d’entre elles est forcée de quitter le rang, deux autres en sortent également pour la protéger. Elles restent alors avec elle jusqu’à ce qu’elle puisse à nouveau voler normalement ou qu’elle meure...puis, elles reprennent leur vol ou se joignent à une autre formation jusqu’à ce qu’elles retrouvent leur propre groupe.

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